Sorties nature en Vendée : cet été, partez à la découverte de l'origami !
Ils sont une dizaine, ce jeudi 18 juillet, à avoir pris la direction de la Cité des Oiseaux pour participer à une initiation à l'origami. Un art d'origine japonaise qui consiste, en pliant du papier, à créer des formes. Cet atelier fait écho à l'exposition photo "Origami sauvage" actuellement présentée sur le site, aux Landes-Genusson, dans le nord-est de la Vendée.
Donner vie au papier
Cette sortie nature débute par une présentation de l'œuvre de l'artiste Jonathan Rebouillat. Son travail : observer la nature et sa faune, réaliser des origamis d'animaux puis retourner en nature pour photographier ces animaux de papier dans le milieu où l'original a été observé. Un résultat à couper le souffle ! "Sur certains exemples très réalistes, on a du mal à distinguer le vrai du faux", sourit un des participants.
Découvrir l'origami à travers 3 exemples
Une initiation en douceur
Autour de la table, l'atelier débute par un choix difficile, celui du papier et des motifs. Mais rapidement, en suivant les conseils de la formatrice Sarah, les petites mains s'activent pour donner vie à un premier origami. Le premier est le plus simple pour débuter, c'est un oiseau claque bec !
Apprendre les techniques de l'origami
Le deuxième origami, un serpent, est plus complexe à réaliser. Mais pour Bastien, un jeune garçon de 9 ans qui participe à cette activité à la Cité des oiseaux, tout se passe bien : "J'en ai déjà fait en moyenne section, c'est rigolo et bien expliqué. Et faire ça dans la nature, au milieu des arbres, c'est super" se réjouit-il.
Et perfectionner sa pratique !
Pour le dernier origami, le niveau se corse, et chacun essaye de deviner quel sera le rendu final : "Un cygne ? Une chauve-souris ? Un dragon peut-être ?"
Pour le découvrir, rendez-vous dans l'une des sorties nature "atelier origami nature", les jeudis de juillet et août à la Cité des Oiseaux.
Une sortie qui sera l'occasion idéale pour découvrir le travail de l’artiste Jonathan Rebouillat et de mesurer toute la complexité de ses réalisations. « Il faut une grande technicité. Quand on pratique, on se rend compte du niveau de ce qu'il fait », s'accordent les participants.